turbulences libre et stable -cellules à collerettes ou la poétique des corps - sacré illiaque -
with the ground laila 1,2, 3 - trois impressions sur l'exil - le voeu des amants - l'age d'airain - la danse des aveugles
le bleu dans le ciel solo / le bleu dans le ciel septuor - la botanique - feuille de métal - méharée
roches, chemin et promenades - ozone - marguerites - est-ce ainsi que les hommes vivent ?
2001 |
"Pour Turbulences libre et stable, Fabienne Abramovich est allée traquer dans sa mémoire les structures fortes de ses anciennes pièces" (...). Poétiquement appelés par la chorégraphe "petites matières", les mouvements sont axés sur la mécanique de femmes, véritable collage d’agencements articulaires et anatomiques sans cesse renouvelés. (...) "Turbulences libre et stable" est un geste magnifique de croisements. (...) |
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1999 |
Grande première, l’ADC investit la salle communale des Eaux-Vives! Pour marquer le coup, elle choisit d’y monter une création - et pas des moindres, puisqu’elle porte la signature de Fabienne Abramovich. (…) La prolifique chorégraphe genevoise présentera "Cellules à collerettes ou la poétique des corps", son quinzième opus en seize ans. Un spectacle dont la distribution se trouve renouvelée, mais qui prolonge le compagnonnage artistique liant Abramovich à Yves Meylan, maître d’oeuvre de l’environnement sonore, et à Marc Gaillard, officiant au jeu des lumières. (...) Anne Davier, Journal de l'ADC >>> |
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1997 |
"Chère Fabienne, |
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1996 La Bâtie, Festival de Genève au Mamco |
"...Le travail est la seule chose qui puisse pour le moment vous libérer de la peur, vous aider à conserver votre dignité humaine, à préserver votre sensibilité et votre raison. Le genre humain nous a abandonnés, la chance nous a quittés, le monde s'éloigne de nous, la réalité en laquelle nous avons appris à croire disparaît. Il ne nous reste que notre travail pour nous défendre, vos études et la profession que nous servons. Une des fonctions fondamentales de l'art est d'aider les êtres à échapper à l'indifférence, qui équivaut à la non-vie..." |
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1995 La Bâtie, Festival de Genève à Patino |
Tout apprentissage consiste en un métissage |
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1994 METAL à l'Alhambra > vidéo(extraits) |
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1993 L'ADC à Patino > vidéo(extraits)
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1993 L'APIC sous-sol Patino |
"Puissant solo les yeux fermés" |
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1992 septuor
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En invitant des "stars" comme Trisha Brown ou Susanne Linke et en s'offrant une création ("Le Bleu dans le ciel") de Fabienne Abramovich, le Festival de Vernier s'est véritablement fait cette année une place au soleil. Quatre soirées programmées au lieu de cinq traditionnelles, mais les spectateurs (de toute la Suisse et de France voisine) sont venus en masse, la salle étant archicomble pour chaque spectacle. Du jamais vu en dix ans de festival.
Francine Collet / Le Courrier / 21 juin 1992 >>> | |||
1991 Solo L'APIC à l'Alhambra
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Création très pure de Fabienne Abramovich, "Le Bleu dans le ciel". Fluidité et efflorescence d'une silhouette blanche emportée dans une dynamique qui proscrit le heurt et s'alimente de répétitions. Fourbi par des bras qui le balaient souplement, l'atmosphère devient métaphysique: la danseuse est superbe, sa maîtrise et sa présence galvanisantes.(...)
Michèle Pralong / Le Courrier / juin 1991 >>> | top | ||
1991
Vidéo-danse |
Les chênes portent des fleurs mâles et des fleurs femelles sur le même pied mais séparées... |
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1990 La Bâtie-Festival de Genève à l'Usine |
"...Du moment que vous chantez, vous êtes une entité. Et puis ensuite vous succombez à d'autres choses tout aussi merveilleuses. Quand je chante, je sais que je suis en train de mettre en forme une toile énorme, ou disons peut-être pas une toile, mais un espace d'air tridimensionnel. Cet acte du chant est en fait un acte de gravure et de sculpture du silence (de l'air) dans un rythme, une architecture de la chanson..." "Le son traverse l'espace, le corps aussi" |
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1989 L'ADC à Patino |
Hymne au silence et à la lenteur
"Les danseurs sur lesquels une faible lumière finit par s'accrocher sont immobiles, accroupis. Pas de tromperie inaugurale, aucune poudre aux yeux avides d'agitation: "Méharée" un hymne au silence, à la lenteur et à la répétition, il l'annonce sans fausse honte. D'entrée de jeu, le temps se dilate, l'espace se prête au calme déploiement d'une gestuelle peu démonstrative. (...) La raideur, la force, le geste volontariste n'existent pas. Autant dire que le spectaculaire est nié, au profit d'une magie du corps relâché qui investit sa pesanteur et joue avec elle." Michèle Pralong / Le Courrier |
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1988 L'ADC au Studio du Grütli |
Ce solo a été créé pour l'ouverture du Grütli après sa rénovation, dans l'espace de l'ADC. Je me souviens avoir travaillé sur une phrase toute simple que je répétais. Je créais des accidents dans la danse qui me permettaient de rebondir sur un phrasé un peu différent à chaque fois, comme une déclinaison. Quelques arrêts permettaient de finaliser les phrases, d'installer une respiration. Je me souviens d'un seul moment d'arrêt volontairement très long. J’aimais ce moment car il faisait toujours rire les spectateurs. Je cherchais une fluidité extrême, mais nerveuse en ressort dans le mouvement. J'aimais rencontrer le point mort du mouvement, celui où tout est possible. F.A.
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1987 Divers lieux publics |
Ozone, je l'ai créé en revenant de Stockolm, où j'ai été invitée, six mois dans la compagnie Windaxor. La danse était abstraite, mais la musique me transperçait. C'était une période étrange, car je ne savais plus ce que je voulais faire. Je rêvais de travailler avec cette compagnie, mais les saisons décalées, la langue française que je ne parlais plus et pas mal de questions existentielles ont fait que j'ai du m'arrêter de voyager. Je réalisais que j'avais pensé ma vie avec un sac à dos. Peu de temps après, je commençais un travail avec cinq danseuses qui m'avaient choisie. Ce travail allait aboutir, deux ans plus tard, au spectacle "Méharée". C'est ainsi que je suis devenue chorégraphe, non plus de mes solos, mais pour un groupe de danseurs(es). F.A.
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1985 Salle Patino |
Solo basé sur le texte de Marguerite Duras "L'homme Atlantique". J'avais construit des panneaux qui donnaient des directions et reprenaient quelques phrases du livre. Je portais une drôle de jupe culotte jaune pâle, un peu vilaine mais bien pratique. J'ai travaillé longtemps sur ce solo que j'ai joué à la salle Patino. Je ne me souviens plus très bien, mais c'était quelque chose d'un peu compliqué à retenir. J'étais morte de trouille. A la sortie, Noémi Lapzéson m'a dit : "Je t'ai trouvé quelqu'un qui pourrait te donner une bourse pour partir à New-York". J'ai dit oui, c'était magique. Merci Noémi. F.A.
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1982 Bâtie - Festival de Genève "Scène libre" |
Il s’agit de mon premier solo. J’étudiais à l’atelier Baudit dirigé par Danièle Golette et Marilou Mango. J’avais une grande soif d’apprendre et je prenais tous les cours de danse. Ce lieu me permettait de goutter, de chercher et de travailler avec les autres: un vrai bonheur. C’est dans ce cadre que j’ai créé ce solo sur une musique de Nina Hagen. Puis, quelqu’un m’a dit "Tu peux t’inscrire sur le planning affiché devant la scène dite «libre» du festival du Bois de la Bâtie... ". J’y suis allée, ai juste déposé mon sac côté jardin et j’ai dansé ce solo en plein après-midi. C’était une belle expérience, simple et pratique pour la jeune chorégraphe que j’étais. F.A. Ce solo a été créé, sans demande de subvention, il n'y a pas d'image, pas de vidéo non plus. |
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